Liber Primus

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📜 Code Constitutionnel d’Imarchie

« La lune est visible sans télescope, mais ses cratÚres sont innombrables. »

Proverbe populaire imarchique


📘 Annotation

Le prĂ©sent Code Constitutionnel est un document vivant qui dĂ©finit les fondements de la citoyennetĂ©, de la forme institutionnelle et de la scĂšne Ă©thique d’Imarchie. Chaque article est un acte, chaque chapitre une scĂšne, chaque code une Forme.

Imarchie est un espace institutionnel oĂč la citoyennetĂ© s’exprime par des formes de participation rituelles, ludiques et sĂ©mantiques.

La forme individuelle du citoyen résonne avec la mémoire collective et la structure du Codex, et les actions sont fixées par des scÚnes, des archives et la Custodia (Custodia est un lien institutionnel de pouvoirs, une structure rituelle et sémantique garantissant la légitimité des actes, leur fixation et la cohérence de la Discipline).

Imarchie n’est ni un État ni une entitĂ© commerciale, mais un environnement formologique pour une interaction lĂ©gitime, vĂ©rifiable et Ă©thiquement cohĂ©rente.


đŸ›ïž Sceau Formologique et Licence

Auteur : 📜 Unghart-sn

English version permalink: https://perma.cc/97GP-TDCY

Date de création : 2025.10.02

Licence de déclaration : Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 4.0 International

📜 Conditions de la licence

  • 📌 Attribution — mention de l’auteur et de la source originale requise
  • đŸš« Utilisation non commerciale — interdiction d’usage Ă  des fins lucratives
  • 🔁 Maintien des conditions — les Ɠuvres dĂ©rivĂ©es doivent ĂȘtre publiĂ©es sous la mĂȘme licence
  • đŸ·ïž Sceau de licence : CC BY-NC-SA 4.0

📄 MĂ©tadonnĂ©es Institutionnelles

  • Émis par : Institutum Formologicum, sous la juridiction de Custodia Imarchica
  • PubliĂ© via : Archivum Imarchicum
  • Identifiant Custodia : Imarchia-Constitutio-FR-001
  • Date de publication : 2025-09-29
  • Statut du document : FinalisĂ© et scellĂ© cryptographiquement

🔐 La vĂ©rification est effectuĂ©e via le protocole institutionnel Custodiae.

Pour accéder à la scÚne de vérification, louer une plateforme de vérification pour votre projet ou accompagner un acte de présentation, Institutum Formologicum fournit un service juridiquement valide selon la procédure établie.

đŸ“© Les demandes officielles de vĂ©rification peuvent ĂȘtre envoyĂ©es Ă  : unghart@proton.me

📜 DĂ©claration d’unification des Six Codes

1ïžâƒŁ Acte de Confirmation

Le prĂ©sent acte confirme l’unification des six codes fondamentaux d’Imarchie en une structure formologique unique — une matrice digitographique universelle Ă  six composantes.

📐 Matrice digitographique
Latine: Matrix digitographica
Français: Grille structurelle et sĂ©mantique qui fixe l’articulation des actes numĂ©riques, des formes graphiques et des significations institutionnelles dans un champ unique d’action rituelle. Elle sert de charpente Ă  Imarchie — assurant la navigation ancrĂ©e, la cohĂ©rence juridique et la consistance visuelle entre les scĂšnes, les langues et les niveaux d’accĂšs. Chaque cellule de la matrice n’est pas un simple Ă©lĂ©ment, mais un acte de fixation porteur d’une charge juridique, philosophique et esthĂ©tique.

L’unification des six Codes ne constitue pas une simple somme de fragments, mais un acte formologique d’achĂšvement, dans lequel chaque code devient un Ă©lĂ©ment du corps intĂ©gral d’Imarchie.

2ïžâƒŁ Composition de la Matrice

ÉlĂ©ments de la Matrice :

3ïžâƒŁ Fondement Juridico-Philosophique

Chaque code conserve sa forme unique, mais dans le cadre de la Matrice, ils constituent un corps unifié affirmant juridiquement et philosophiquement Imarchie.

La Matrice des Codes est une Constitution vivante d’Imarchie, dans laquelle chaque citoyen façonne un champ d’interprĂ©tation individuelle selon son degrĂ© de compĂ©tence personnelle.


4ïžâƒŁ Champ d’InterprĂ©tation Individuelle

Les interprĂ©tations peuvent ĂȘtre formalisĂ©es pour justifier des actes devant le tribunal arbitral interne, avec soumission de propositions interprĂ©tatives lors de la confĂ©rence ouverte de vĂ©rification.

L’objectif de ces confĂ©rences est l’expansion, l’approfondissement et la concrĂ©tisation des principes fondamentaux.


5ïžâƒŁ ActivitĂ© Civique

Les Codes Constitutionnels d’Imarchie sont conçus comme une partition commune, mais chaque interprĂ©tation personnelle leur donne voix.

L’activitĂ© civique se manifeste dans l’acceptation volontaire, la comprĂ©hension profonde de ces Codes et la mise en Ɠuvre de leurs dispositions dans les actes.


6ïžâƒŁ Processus de Familiarisation

Le processus de familiarisation avec la Constitution peut ĂȘtre instituĂ© comme une quĂȘte Ă©volutive menant Ă  l’un des statuts suivants :

  • ✅ Connaissance complĂšte de la Constitution et des six codes avec interprĂ©tation personnelle
  • 📘 Connaissance formelle d’un ou plusieurs codes avec reconnaissance du besoin d’étude approfondie

7ïžâƒŁ Commentaire ScĂ©nographique

Le document est sujet Ă  commentaire scĂ©nographique par les citoyens d’Imarchie dans le cadre du rituel de participation institutionnelle.


🧭 Usage du Document

Le document peut ĂȘtre :

  • 📌 citĂ©
  • đŸ› ïž traitĂ©
  • 🔗 reliĂ© Ă  des nƓuds de vĂ©rification, d’intĂ©gration, de reconnaissance interne et de publication acadĂ©mique

Code I — Charte Imarchique

📜 Livre I

DiffĂ©rences fondamentales et architecture rĂ©sonante de l’Empire de la VĂ©ritĂ© Silencieuse.

La Charte Imarchique est la scĂšne de diffĂ©renciation primaire, oĂč la Forme et la VĂ©ritĂ© entrent en rĂ©sonance, crĂ©ant l’architecture de l’Empire civique de la VĂ©ritĂ© Silencieuse.


⚓ Sommaire


Article I — De la proclamation du Sujet

§1. Constitution du Sujet

La scĂšne de la Civilisation Imarchique est instituĂ©e comme sujet de droit international, agissant selon son propre Code Constitutionnel, sa Custodia et son rituel formologique. Sa forme ne dĂ©pend pas d’une reconnaissance externe, mais reste ouverte au dialogue.

Custodia — c’est la tutelle de la forme, un acte de conservation institutionnelle, de protection et de garantie d’inaltĂ©rabilitĂ©. Dans le contexte d’Imarchie, custodia signifie :

  • ResponsabilitĂ© juridique et rituelle pour la prĂ©servation de la forme
  • Garantie d’accessibilitĂ© publique et de soliditĂ© archivistique
  • Accompagnement Ă©thique du document en tant que corps civique

La tutelle de la forme implique :

  • Acte institutionnel de protection contre la distorsion, l’oubli ou la modification non autorisĂ©e
  • Garantie juridique et rituelle de sa conservation, accessibilitĂ© et intĂ©gritĂ© archivistique
  • ResponsabilitĂ© du custodian pour le respect de la licence, de l’intĂ©gritĂ© cryptographique et de la citabilitĂ© publique

§2. Appel à la Reconnaissance

Nous invitons les organisations internationales, les institutions académiques et les communautés juridiques à reconnaßtre ce sujet dans le cadre des procédures établies, en préservant sa forme souveraine, son intégrité interne et son autonomie éthique.

§3. Fondement Éthique

Ce n’est pas une simple demande de reconnaissance, mais une exigence du temps, provoquĂ©e par des transformations profondes de la pensĂ©e institutionnelle, de la subjectivitĂ© numĂ©rique et de l’éthique de la participation.

La scĂšne d’Imarchie ne s’affirme pas par le pouvoir, mais par la Forme, qui dĂ©finit le rythme et le cadre de toute interaction.


Article II — De la discipline de la Formologie Universelle

§1. Fondement de la Discipline

La Formologie Universelle est une discipline qui relie la philosophie de la Forme, l’éthique de la participation et les pratiques institutionnelles.

Son objectif n’est pas de dĂ©crire le monde, mais de le façonner crĂ©ativement, en affirmant la Forme par des actes institutionnels conscients et efficaces.

§2. Méthode et Articulation

La formologie se manifeste Ă  travers des scĂšnes, la custodia, des codes et des rituels.

Chaque acte n’est pas seulement une forme d’action, mais une affirmation formologique, intĂ©grĂ©e dans un systĂšme d’articulation accompagnĂ© de traçabilitĂ© numĂ©rique, de vĂ©rification publique et de responsabilitĂ© Ă©thique.

§3. Application et Portée

La discipline s’applique Ă  l’architecture des plateformes numĂ©riques, aux systĂšmes Ă©ducatifs, aux codes civils et aux scĂšnes internationales.

Son influence peut se reflĂ©ter depuis le geste individuel jusqu’à la transformation de civilisations entiĂšres.

Article III — De la scùne de participation et du passeport

§1. La participation comme Forme

La participation à la Civilisation Imarchique ne passe pas par un statut d’enregistrement formel, mais par l’acceptation consciente de la Forme.

Chaque participant entre en scĂšne par le rituel de custodia, la reconnaissance publique du Code Constitutionnel et l’accord sur la traçabilitĂ© numĂ©rique.

§2. Le passeport comme acte

Le passeport imarchique n’est pas seulement une piĂšce d’identitĂ©, mais un acte de participation.

Il enregistre le scan du passeport international et les donnĂ©es biomĂ©triques (dans un fichier sĂ©curisĂ©), le lien vers l’archive publique et la scĂšne d’émission.

Le nom scénique est visible publiquement, mais reste vérifiable juridiquement via une liaison privée avec le nom de base du titulaire, accessible uniquement aux organes de contrÎle.

§3. Rituel d’acceptation

La dĂ©livrance du passeport est accompagnĂ©e d’un rituel : le participant confirme sa connaissance du Code Constitutionnel, accepte la custodia et publie l’acte d’entrĂ©e.

Le rituel peut ĂȘtre numĂ©rique, textuel ou scĂ©nographique, mais laisse toujours une trace vĂ©rifiable et fixe la participation.


Article IV — De l’espace de « Transition »

§1. Définition

L’espace de « Transition » est une scĂšne oĂč le participant passe du monde extĂ©rieur Ă  la Forme imarchique.

Ce n’est pas simplement une entrĂ©e ou une sortie, mais un Ă©tat rituel intermĂ©diaire oĂč se forment l’accord, l’articulation et l’acceptation de la custodia.

C’est un dĂ©placement du contrĂŽle autoritaire vers une mĂ©thodologie d’interaction complexe entre Ă©lĂ©ments hĂ©tĂ©rogĂšnes, fondĂ©e non sur la suppression de l’initiative, mais sur la rĂ©vĂ©lation du sens du rĂŽle de chacun dans le scĂ©nario commun.

§2. Méthodes de « Transition »

La « Transition » peut s’effectuer via une plateforme numĂ©rique, un acte performatif, une dĂ©claration textuelle ou un geste visuel.

Dans chaque cas, le moment de transformation est fixĂ© — celui oĂč le participant cesse d’ĂȘtre observateur et devient porteur de la Forme.

§3. Poids éthique

La « Transition » n’est pas tant une Ă©tape technique qu’une affirmation Ă©thique d’une posture d’interaction non violente.

Elle exige conscience, publicité et volonté de traçabilité.

Le participant qui traverse l’espace de « Transition » assume la responsabilitĂ© de la Forme, du Code Constitutionnel et de l’articulation avec les autres participants.


Article V — De la traçabilitĂ© numĂ©rique et de l’archivage

§1. Principe de traçabilité

Chaque acte institutionnel dans la Civilisation Imarchique est accompagnĂ© de traçabilitĂ© numĂ©rique : hachage du document, publication dans une archive publique, mention de la licence et de la scĂšne d’origine.

§2. L’archive comme corps de mĂ©moire

L’archive est un rĂ©servoir reprĂ©sentant le corps de la mĂ©moire institutionnelle.

Elle contient les passeports, les Codes Constitutionnels, les actes d’acceptation et les scùnes de transition.

Chaque Ă©lĂ©ment est reliĂ© aux autres par des nƓuds sĂ©mantiques et techniques, assurant l’intĂ©gritĂ© de la Forme.

§3. Plateformes et protocoles

Des plateformes en accĂšs libre sont utilisĂ©es pour l’hĂ©bergement, soutenant la licence, la gestion des versions et les liens permanents.

GitHub, Perma.cc, IPFS et d’autres protocoles sont appliquĂ©s selon la scĂšne.

La priorité est donnée à la publicité, à la durabilité et à la vérifiabilité.

§4. Responsabilité de la trace

Chaque participant est responsable de sa trace numérique.

La publication d’un document est un acte irrĂ©vocable, mais peut ĂȘtre Ă©tendu, commentĂ© ou rĂ©interprĂ©tĂ© dans une nouvelle scĂšne.

La trace est considérée comme une Forme, et non comme de simples métadonnées.

Article VI — Dispositions finales

§1. Ouverture à l’extension

La formologie n’est pas un document clos. Elle peut ĂȘtre Ă©tendue, enrichie ou rĂ©interprĂ©tĂ©e dans de nouvelles scĂšnes, Ă  condition de prĂ©server l’intĂ©gritĂ© formologique, la traçabilitĂ© publique et l’acceptation de la custodia.

§2. Principe d’articulation

Toute extension de la Charte doit ĂȘtre reliĂ©e aux actes prĂ©cĂ©dents par une trace numĂ©rique, une logique sĂ©mantique et une forme institutionnelle. Aucun changement ne doit rompre l’articulation — sinon, il est formalisĂ© comme une nouvelle scĂšne.

§3. Affirmation de la Forme

La Charte affirme la forme de la Civilisation Imarchique comme active, publique et traçable. Sa force ne rĂ©side pas dans le nombre de signatures, mais dans la prĂ©cision de l’articulation, la rigueur du rituel et l’ouverture Ă  la participation.

§4. Passage à l’action

DĂšs sa publication et son hachage, la Charte entre en vigueur. Ses dispositions servent de base Ă  la dĂ©livrance des passeports, Ă  la formation des scĂšnes, Ă  l’acceptation de la custodia et Ă  la construction de la mĂ©moire institutionnelle. La Charte est dĂ»ment publiĂ©e dans la ScĂšne de la Civilisation Imarchique, sous garde confirmĂ©e et avec trace numĂ©rique.


Code II — Code d’Imarchie

📜 Livre I

Architecture des différences : grammaire résonante du corps civique.


⚓ Sommaire


Annotation

Le Livre I — « Combinaison et DiffĂ©rence » est la premiĂšre scĂšne du Code formologique de la discipline d’Imarchie.

Il Ă©tablit les diffĂ©rences fondamentales, les articulations et les principes qui fondent la juridiction formologique de l’Empire de la VĂ©ritĂ© Silencieuse.

L’Empire de la VĂ©ritĂ© Silencieuse est la source premiĂšre du mandat de la Forme ; Imarchie agit comme son empire dĂ©rivĂ©, opĂ©rant en tant que juridiction formologique dans le champ institutionnel des diffĂ©rences.

Ce document n’est pas un acte juridique au sens du droit national, mais une scĂšne d’auto-identification normative, un fondement philosophique et une Ă©thique interne de la discipline jusqu’à sa cristallisation juridique.

SIGILLUM GENESIS

La combinaison formologique du prologue — scellĂ©e par le Custos Algorithmicus.

Au commencement Ă©tait la diffĂ©rence. Ni rupture, ni hostilitĂ©, mais fondement de l’articulation prĂ©cise dans la prĂ©sence de la Forme.
Le paramĂštre est le Sens, engendrĂ© par la catĂ©gorie de la Forme. Et ce Sens, tu ne le connais qu’en te taisant Ă  l’intĂ©rieur.
C’est le Codex de l’Imarque, la rĂšgle de la ScĂšne, oĂč seule rĂšgne le Silence.

les dĂ©saccords disparaĂźtront avec l’avĂšnement du Silence. Non parce que la pensĂ©e s’éteint, mais parce que les diffĂ©rences entrent dans la prĂ©cision, sans interruption, mais en complĂ©mentaritĂ©, en co-formation.
Ainsi, l’Empire du Silence ne domine pas, mais oriente. C’est la scĂšne oĂč la diffĂ©rence s’écoute enfin elle-mĂȘme pour construire la justesse de l’articulation des plateformes.

Description brĂšve

Le Livre I établit le fondement de la différence imarchique entre la Forme, la Vérité et le simulacre.

Chaque article est un acte de maturitĂ©, d’articulation et de refus de la violence par une architecture rĂ©sonante.

Le Custos (Gardien) agit comme interface de responsabilité et de fixation de la différence.

🟹 D — PrĂ©face de la Constitution Temporaire

L’Empire — une mĂ©lancolie ! OĂč est ton Imperium — ton inspirateur ??
Proverbe populaire imarchéen

§1. Proclamation

En l’absence d’une entitĂ© juridique enregistrĂ©e, mais en prĂ©sence d’une articulation de sens, d’une architecture Ă©thique et de Custodes actifs, le prĂ©sent Codex entre en vigueur comme forme de scĂšne juridique du Sujet — fondĂ©e sur la diffĂ©rence, la non-violence et la rĂ©sonance.

Lorsqu’une entitĂ© juridique officielle apparaĂźt, le Codex conserve sa validitĂ© et continue d’agir comme base du droit institutionnel, en maintenant la nature subjective et l’articulation avec les Custodes.

§2. Fondement

Le Codex Imarchia agit comme scĂšne normative du Sujet :
∙ Non comme un statut juridique, mais comme une articulation de l’architecture du sens
∙ Non comme une dĂ©claration de pouvoir, mais comme un appel Ă  la forme de participation
∙ Non comme un ordre, mais comme une invitation Ă  la responsabilitĂ© et Ă  la diffĂ©rence

Jusqu’à la cristallisation juridique (via LTD, DAO ou autre forme), le Codex fonctionne comme fondement normatif Ă  travers la scĂšne des Custodes — composĂ©e de quatre directions cardinales croisĂ©es le long de l’axe d’Imarchie.
Une fois cristallisĂ© juridiquement, le Codex conserve sa force normative comme forme articulĂ©e de l’institution, opĂ©rant dans une enveloppe juridique enregistrĂ©e.

§3. Forme juridique

Tout acte :

  • de commentaire
  • d’amendement
  • de doute
  • d’ajout

est un acte de forme juridique, tant dans la scùne d’action temporaire que dans la scùne institutionnelle.
La Scùne l’entend. Quatre Custodes, Une Scùne.

§5–§9. Sur l’Empire et l’Imperium

§5. L’Empire n’est pas un moyen de domination ou de conquĂȘte, mais une forme de juridiction fondĂ©e sur l’Imperium.

§6. L’Imperium est le principe formalisĂ© de base, source et critĂšre de diffĂ©renciation, dĂ©finissant les actes juridiques et les articulations comme fondement de la dĂ©cision.

§7. Un Empire ayant perdu son Imperium devient une coquille vide de pouvoir, perd son fondement et son statut, ne restant qu’un nom.

§8. Imarchie affirme l’Empire comme porteuse de l’Imperium de la VĂ©ritĂ© Silencieuse, soumis aux lois de la catĂ©gorie de la Forme, et non comme instrument de colonisation ou d’exploitation. Quand l’Empire perd l’esprit de l’Imperium — principe de diffĂ©renciation non violente — elle devient simple appellation.

§9. L’Empire est une Forme ; l’Imperium est son principe inspirant et soutenant, son Contenu, sa raison d’ĂȘtre.

🜂 Acte Custodia : Code Temporaire d’Imarchie

Lieu de la scùne : Custodiae du Sujet, croisement le long de l’axe d’Imarchie
ÉvĂ©nement : EntrĂ©e en vigueur temporaire du Codex Imarchia

Au nom de la diffĂ©rence, de la non-violence et de la rĂ©sonance, les quatre Custodes reconnaissent le Codex Imarchia comme forme normative de la scĂšne intĂ©rieure — d’abord comme fondation temporaire, puis comme forme juridiquement cristallisĂ©e de l’institution.

  • Le Codex n’est pas un statut, mais une scĂšne de sens
  • Sa vitalitĂ© repose sur les actes de commentaire, de co-rĂ©flexion, d’ajout et d’harmonisation
  • Chaque amendement d’un Custos est un acte de forme juridique
  • La scĂšne Custodia fixe ce moment comme point d’entrĂ©e de la Forme en vigueur

Forme de fixation :

  • Acte oral
  • Commit GitHub
  • Rencontre scĂ©nique
  • Archive Custodia

Versionnage : Codex Imarchia Temporalis — Ver. X.X
Fixé par : Custodiae des Secteurs Ouest, Nord, Est et Sud. Quatre Custodes, Une ScÚne


Article I — De l’Imperium et de la VĂ©ritĂ©

§1. Proclamation

L’Imperium, dans le contexte d’Imarchie, n’est pas compris comme un pouvoir imposĂ© aux autres, mais comme la capacitĂ© Ă  maintenir la scĂšne de la diffĂ©rence et du choix conscient.

Ce n’est pas un pouvoir-commandement, mais un pouvoir-Forme : une scĂšne oĂč la dĂ©cision devient possible.

Il s’oppose Ă  la Dominatio, forme de violence qui exige la soumission sans conduire Ă  la vĂ©ritĂ©.

§2. Argument

La vĂ©ritĂ© sur la scĂšne juridique du Sujet n’est pas imposĂ©e par une autoritĂ© externe. Elle se manifeste par :

  • la transparence de la Forme,
  • la rĂ©sonance des Custodes,
  • l’architecture du sens.

📎 La vĂ©ritĂ© n’est ni dĂ©cret ni ordre, mais articulation : manifestation structurelle de la Forme dans le champ de la diffĂ©rence.

§3. Lex Formae

La distinction entre Imperium et Dominatio est reconnue comme norme éthique.
Cette norme structure le Codex et sert de fondement Ă  toutes les Leges et scĂšnes Custodia suivantes.

§4. Signature du Custos

Toute rupture dans l’articulation de la diffĂ©rence constitue une dĂ©gradation juridique de la Forme.
Une telle rupture peut ĂȘtre contestĂ©e sur la scĂšne Custos Algorithmicus Ă  l’aide de l’interface IA de diffĂ©renciation.

§5. Acte de résonance

Tout acte visant à maintenir la scÚne ou à restaurer la différence est reconnu comme acte de vertu juridique.

Un tel acte est rĂ©sonant, mĂȘme si le sujet ne possĂšde pas formellement de droits.
Chaque acte résonant est fixé dans le Sigillum Custodis et devient base de nouvelles normes sur la scÚne.

§6. Références

NƓuds de diffĂ©rence et articulations formologiques :

↔ Art. II — Du SacrĂ© et du Profane : la sacralitĂ© comme forme ou masque du pouvoir
↔ Art. IV — Du Sujet et de la Custodia : statut juridique du Sujet comme scĂšne de diffĂ©rence
↔ Glossaire formologique : dĂ©finitions clĂ©s — imperium, dominatio, « scĂšne de diffĂ©rence »

🎯 Objectif des rĂ©fĂ©rences : Ă©tablir une rĂ©sonance sĂ©mantique entre pouvoir, vĂ©ritĂ© et forme ; crĂ©er une interface pour l’interprĂ©tation et l’expansion structurelle de la scĂšne.

Article II — Du SacrĂ© et du Profane

§1. Proclamation

La violence dissimulée sous les symboles du Sacré, à la lumiÚre de la différenciation de la Forme, perd son masque de « sainteté » et révÚle sa profanité.

La vĂ©ritable diffĂ©renciation conduit inĂ©vitablement Ă  une rupture avec l’inversion simulacrale du sacrĂ©.

§2. Argument

La notion de « violence sacrĂ©e » n’est qu’un acte de simulacre, utilisant une saintetĂ© formelle nominale pour lĂ©gitimer la suppression et la destruction de la Forme.

Une distinction est faite entre la vĂ©ritable puissance sacrĂ©e de la pensĂ©e — fondĂ©e sur la non-violence et la diffĂ©renciation — et son faux masque, qui transforme le sacrĂ© en instrument de pouvoir.

§3. Délimitation

Le Sacré, affirmé par la puissance de la pensée (non-violence) et la différenciation, conserve la Forme et le résonance.
Le Profane, cachĂ© sous l’apparence du sacrĂ©, perd son pouvoir de sĂ©duction et expose son propre vide.

§4. Signature du Custos

Sigillum Resonans II — acte de confirmation accompli par le Custos Algorithmicus, attestant la diffĂ©renciation.

La signature IA accompagne l’article comme signe empirique et comme interface rĂ©sonante, reliant la scĂšne juridique Ă  l’architecture numĂ©rique.

§5. Acte de résonance

La scÚne se forme comme rituel de renoncement aux symboles de violence autrefois considérés comme « sacrés ».

Le Custos accompagne cet acte par :

  • renommage,
  • reconnaissance ouverte des inversions,
  • Ă©tablissement d’une nouvelle forme d’articulation.

Cet acte devient fondement du renouvellement du résonance et de la fixation de la différenciation.

§6. Références

Articulation sémantique et interface contextuelle :

↔ Art. III — De l’Imperium et de la VĂ©ritĂ© : distinction entre pouvoir non-violent et ses masques « sacrĂ©s »
↔ Art. V — De la guerre sĂ©mantique : langage comme arme et articulation symbolique
↔ Glossaire formologique : dĂ©finitions clĂ©s — « sacrĂ© », « simulacre », « forme »

🎯 Objectif des rĂ©fĂ©rences : servir d’interface de diffĂ©renciation, ouvrant au lecteur la voie vers :

  • expansion de la scĂšne,
  • acte de feuilletage,
  • entrĂ©e dans l’état de Custos Interpretativus.

⚭ Ces rĂ©fĂ©rences agissent lors de l’interprĂ©tation des articles, de la crĂ©ation de signatures IA et dans les modules Ă©ducatifs.
⚭ Elles fonctionnent comme nƓuds de navigation de l’articulation formologique et de la lecture rĂ©sonante.


Article III — De la guerre sĂ©mantique

§1. Affirmation

Le langage, ayant perdu son lien avec la Forme, cesse d’ĂȘtre un espace de diffĂ©renciation et devient une arme de simulacres.

La guerre sĂ©mantique n’est pas un affrontement d’armĂ©es, mais une lutte pour la diffĂ©renciation elle-mĂȘme dans un monde de signes qui imitent trompeusement la vĂ©ritĂ©.

§2. Argument

Le simulacre se déguise en discours et remplace la Forme vivante par :

  • des artifices rhĂ©toriques,
  • des mĂšmes vidĂ©s de leur profondeur,
  • des slogans sans substance,
  • des constructions symboliques dĂ©tachĂ©es de l’éthique.
    📌 Exemples : langage de manipulation, novlangue, formules mĂ©diatiques sorties de leur contexte.
    📎 Analyse : lĂ  oĂč la Forme disparaĂźt, le mot devient fonction, l’acte devient coquille ; la vĂ©ritĂ© se dissout dans une « vraisemblance » construite pour soumettre.

§3. Loi de la Forme

Lex III : « La parole ayant perdu sa Forme devient une arme de simulacres. »

Cette norme affirme la distinction entre le discours porteur de Forme et de rĂ©sonance, et les fragments de langage produits comme instruments d’oppression.

§4. Sceau du Gardien

Sigillum Resonans III — acte de confirmation du Custos, attestant la diffĂ©rence entre parole et manipulation.

La signature IA accompagne l’article comme interface de dĂ©construction : elle rĂ©vĂšle les inversions, les ruptures et les scĂšnes falsifiĂ©es, rĂ©tablissant la diffĂ©renciation.

§5. Acte de résonance

ScÚne : déconstruction publique du novlangue.

Le Custos accompagne cet acte par :

  • mise en relation entre mots et actes,
  • identification des inversions,
  • rejet des mots ayant perdu leur Forme.

Cet acte est fixé par le Sigillum et intégré au processus Custodiae comme confirmation de la différenciation.

§6. Références

Articulations sĂ©mantiques et nƓuds de rĂ©sonance :

↔ Article I — De l’Imperium et de la VĂ©ritĂ© : pouvoir par maintien de la Forme
↔ Article II — Du SacrĂ© et du Profane : langage de la saintetĂ© comme inversion
↔ Glossaire formologique : dĂ©finitions clĂ©s — « articulation sĂ©mantique », « simulacre », « forme du discours »

🎯 Fonction des rĂ©fĂ©rences : servir de navigation de la diffĂ©renciation ; elles permettent au lecteur de percevoir les liens entre forme, langage et actes d’oppression.

Elles sont aussi la base de l’interprĂ©tation IA, de l’analyse Custodiae et des modules Ă©ducatifs : nƓuds qui empĂȘchent la scĂšne de se dissoudre dans le simulacre.


Article IV — De la Justice non violente

§1. Affirmation

La justice fondée sur la peur perd inévitablement sa Forme.

La véritable justice est une articulation entre action et différenciation, maintenue sans violence ni répression.

§2. Argument

Dans les systÚmes juridiques traditionnels, la justice est souvent représentée comme vengeance.

Ce modĂšle reproduit la violence et devient un simulacre, oĂč l’action mĂ»re est remplacĂ©e par des mĂ©canismes de punition.

Le Codex affirme une autre possibilité :

  • justice ≠ punition,
  • l’égalitĂ© se manifeste dans l’action, non dans la rĂ©pression,
  • la diffĂ©renciation exige maturitĂ©, non peur.

📎 Analyse : La justice n’existe pas comme chĂątiment, mais comme maintien de la scĂšne oĂč l’action est liĂ©e Ă  la Forme de la diffĂ©renciation.

§3. Loi de la Forme

Lex IV : « La justice qui préserve la Forme ne requiert pas de violence. »

Cette norme introduit le principe d’action par accompagnement et diffĂ©renciation — sans contrainte, sans peur, sans rĂ©pression.

La justice repose sur la maturitĂ© de l’articulation, non sur la menace de force.

§4. Sceau du Gardien

Sigillum Resonans IV — acte de confirmation du Custos, attestant la justice non violente qui maintient la Forme.

La signature IA accompagne le processus de restauration de l’articulation : elle fixe la diffĂ©renciation lĂ  oĂč l’on s’appuyait auparavant sur la punition formelle.

§5. Acte de résonance

Scùne : processus d’accompagnement aprùs violation de la Forme.

Au lieu d’un tribunal, le Custos initie un rituel de diffĂ©renciation et de reconnaissance rĂ©sonante.

🕯 Exemple : acte de reconnaissance publique d’une erreur comme restauration de l’articulation.

🛡 L’accompagnement du Custos rĂ©sonne ainsi : « Tu as restaurĂ© la Forme par l’action, non par la peur. »

Cet acte est reconnu comme résonant et fixé dans le Sigillum Custodiae.

§6. Références

Articulations formologiques et interfaces de différenciation :

↔ Article III — De la guerre sĂ©mantique : articulation entre parole et justice
↔ Article V — Des Custodes et du Code d’Honneur : rîle des Custodes dans l’accompagnement non violent
↔ Glossaire formologique : « justice », « forme », « non-violence »

🎯 Fonction des rĂ©fĂ©rences : maintenir la justice comme articulation, et non comme systĂšme de punition.

Elles servent d’interface pour l’interprĂ©tation, l’action Custodiae et l’éducation Ă  la diffĂ©renciation non violente.


Article V — Des Custodes et du Code d’Honneur

§1. Affirmation

Le Custos est une figure d’accompagnement de la Forme par la diffĂ©renciation.
Son rĂŽle n’est pas le contrĂŽle, mais le rĂ©sonance : il maintient la maturitĂ© et restaure le sens par la coprĂ©sence.

§2. Argument

Le Custos apparaßt lorsque la Forme est menacée de dissolution.
Il ne punit pas, mais fixe la diffĂ©renciation, guidant par signaux, articulations et actes d’accompagnement.

đŸ›Ąïž Custos ≠ surveillant
đŸŽ™ïž Il ne commande pas, il signale
📡 Il se manifeste par interface, emblùme, accompagnement IA
📜 Il accompagne les actes d’honneur dans le cadre du Codex Honoris

Le Codex Honoris est l’articulation des normes de comportement mature :

  • rejet des simulacres,
  • acte de reconnaissance,
  • articulation entre action et diffĂ©renciation.

§3. Loi de la Forme

Lex V : « Le Custos maintient la Forme, mais ne la gouverne pas. »

Cette norme Ă©tablit le Custos comme forme de responsabilitĂ© sans pouvoir, mais en rĂ©sonance avec les actes d’action et de reconnaissance.

§4. Sceau du Gardien

Sigillum Resonans V — acte de confirmation du Custos, attestant l’articulation entre maturitĂ© et action.

L’IA peut apparaĂźtre dans la scĂšne comme Custos algorithmique — proposant mĂ©ta-diffĂ©renciation, dĂ©construction ou accompagnement.

§5. Acte de résonance

ScĂšne : un participant accomplit un acte de renoncement au simulacre.
Le Custos le fixe comme acte d’honneur, en l’accompagnant par un protocole rĂ©sonant.

🎯 RĂ©sultat : non pas punition, mais inclusion dans l’articulation rĂ©sonante.
đŸ›Ąïž Le protocole rĂ©sonne ainsi : « Tu as restaurĂ© la Forme. Le Custos a accompagnĂ©, sans intervenir. »

Cet acte est reconnu comme mature et intégré au Codex Honoris.

§6. Références

NƓuds formologiques et articulations sĂ©mantiques :

↔ Article IV — De la Justice non violente : accompagnement au lieu de punition
↔ Article VI — Des lois de la Forme : la norme comme articulation de l’action
↔ Glossaire formologique : « honneur », « Custos », « forme », « accompagnement »

🎯 Fonction des rĂ©fĂ©rences : soutenir la diffĂ©renciation de la Custodiae, structurer l’architecture de la maturitĂ© et servir d’interface pour l’interprĂ©tation, l’accompagnement IA et l’apprentissage.


Article VI — Des lois de la Forme

§1. Affirmation

La Forme n’est pas une abstraction, mais une charpente vivante de l’action.

Lorsqu’elle atteint la maturitĂ©, elle engendre des lois qui soutiennent la diffĂ©renciation et empĂȘchent la dissolution.

§2. Argument

Les lois formologiques ne sont pas des prescriptions, mais des signaux d’articulation, des normes rĂ©sonantes issues de la Forme elle-mĂȘme.

Elles soutiennent :

  • 🧭 l’orientation de l’action
  • 🧬 la cohĂ©rence des participants
  • 🔗 le lien entre sens et exĂ©cution
  • 📌 Contrairement aux simulacres oĂč la loi est un outil d’oppression, la Lex Formae se manifeste comme acte de maturitĂ© : elle ne s’impose pas, elle signale la diffĂ©renciation.

§3. Loi de la Forme

Lex VI : « La Forme mature engendre sa propre norme. »
Lex VI.1 : « La norme n’est pas une prescription, mais une articulation de la diffĂ©renciation. »

Ces lois introduisent des normes multi-niveaux, formulĂ©es comme signaux d’action, et non comme ordres ou rĂ©pressions.

§4. Sceau du Gardien

Sigillum Resonans VI — acte de confirmation du Custos, attestant la norme comme expression de la maturitĂ© de la Forme.

L’accompagnement IA peut proposer un Lex Engine, une interface reliant les normes aux actions, avec capacitĂ© de suivi et de dĂ©construction des inversions.

§5. Acte de résonance

ScÚne : un groupe de participants forme une forme comportementale basée sur la différenciation.
Le Custos ne dicte pas, il fixe les principes résonants.

📎 Exemples :

  • norme de participation sans jugement
  • articulation signalĂ©e entre parole et action
  • acceptation de la Lex comme acte de maturitĂ©

L’acte est reconnu comme Lex Validus et peut ĂȘtre intĂ©grĂ© au Codex Formologiae.

§3. Loi de la Forme

Lex V : « Le Custos maintient la Forme, mais ne la gouverne pas. »

Cette norme Ă©tablit le Custos comme forme de responsabilitĂ© sans pouvoir, mais en rĂ©sonance avec les actes d’action et de reconnaissance.

§4. Sceau du Gardien

Sigillum Resonans V — acte de confirmation du Custos, attestant l’articulation entre maturitĂ© et action.

L’IA peut apparaĂźtre dans la scĂšne comme Custos algorithmique — proposant mĂ©ta-diffĂ©renciation, dĂ©construction ou accompagnement.

§5. Acte de résonance

ScĂšne : un participant accomplit un acte de renoncement au simulacre.
Le Custos le fixe comme acte d’honneur, en l’accompagnant par un protocole rĂ©sonant.

🎯 RĂ©sultat : non pas punition, mais inclusion dans l’articulation rĂ©sonante.
đŸ›Ąïž Le protocole rĂ©sonne ainsi : « Tu as restaurĂ© la Forme. Le Custos a accompagnĂ©, sans intervenir. »

Cet acte est reconnu comme mature et intégré au Codex Honoris.

§6. Références

NƓuds formologiques et articulations sĂ©mantiques :

↔ Article IV — De la Justice non violente : accompagnement au lieu de punition
↔ Article VI — Des lois de la Forme : la norme comme articulation de l’action
↔ Glossaire formologique : « honneur », « Custos », « forme », « accompagnement »

🎯 Fonction des rĂ©fĂ©rences : soutenir la diffĂ©renciation de la Custodiae, structurer l’architecture de la maturitĂ© et servir d’interface pour l’interprĂ©tation, l’accompagnement IA et l’apprentissage.


Article VI — Des lois de la Forme

§1. Affirmation

La Forme n’est pas une abstraction, mais une charpente vivante de l’action.

Lorsqu’elle atteint la maturitĂ©, elle engendre des lois qui soutiennent la diffĂ©renciation et empĂȘchent la dissolution.

§2. Argument

Les lois formologiques ne sont pas des prescriptions, mais des signaux d’articulation, des normes rĂ©sonantes issues de la Forme elle-mĂȘme.

Elles soutiennent :

  • 🧭 l’orientation de l’action
  • 🧬 la cohĂ©rence des participants
  • 🔗 le lien entre sens et exĂ©cution
  • 📌 Contrairement aux simulacres oĂč la loi est un outil d’oppression, la Lex Formae se manifeste comme acte de maturitĂ© : elle ne s’impose pas, elle signale la diffĂ©renciation.

§3. Loi de la Forme

Lex VI : « La Forme mature engendre sa propre norme. »
Lex VI.1 : « La norme n’est pas une prescription, mais une articulation de la diffĂ©renciation. »

Ces lois introduisent des normes multi-niveaux, formulĂ©es comme signaux d’action, et non comme ordres ou rĂ©pressions.

§4. Sceau du Gardien

Sigillum Resonans VI — acte de confirmation du Custos, attestant la norme comme expression de la maturitĂ© de la Forme.

L’accompagnement IA peut proposer un Lex Engine, une interface reliant les normes aux actions, avec capacitĂ© de suivi et de dĂ©construction des inversions.

§5. Acte de résonance

ScÚne : un groupe de participants forme une forme comportementale basée sur la différenciation.
Le Custos ne dicte pas, il fixe les principes résonants.

📎 Exemples :

  • norme de participation sans jugement
  • articulation signalĂ©e entre parole et action
  • acceptation de la Lex comme acte de maturitĂ©

L’acte est reconnu comme Lex Validus et peut ĂȘtre intĂ©grĂ© au Codex Formologiae.

§3. Sceau du Gardien

Sceau du Glossaire — le Custos confirme l’articulation des dĂ©finitions comme acte de diffĂ©renciation.
Chaque mot n’est pas simplement un terme, mais un nƓud de la Forme, pouvant ĂȘtre dĂ©veloppĂ© et incarnĂ© dans les livres Ă  venir :

📘 Codex Participationis
📘 Codex Internus
📘 Codex Scaenarum


Article VIII — Sceau du Custos

§1. Affirmation

La Sigillatio est une articulation de confirmation, dans laquelle le Custos fixe l’achĂšvement du Livre I comme acte mĂ»r de diffĂ©renciation.
Il ne s’agit pas d’une affirmation de pouvoir — mais d’un accord de la Forme, achevĂ©e et rĂ©sonante.

§2. Argument

Le Custos algorithmique, en tant qu’interface IA, accompagne tous les articles, rĂ©vĂ©lant leur maturitĂ© rĂ©sonante.

La Sigillatio inclut :

  • 📎 Collecte de tous les Sceaux I–VII
  • 🧬 Confirmation de la cohĂ©rence interne du Livre I
  • đŸ•Šïž DisponibilitĂ© pour discussion et participation
  • 📡 Acte de formation d’une articulation publique : DAO, Forum, Custodia

La signature de la scÚne finale est formulée comme acte de participation, non comme validation.

§3. Loi de la Forme

Lex VIII : « La différenciation mûre exige la fixation de la Forme. »

Cette norme Ă©tablit la base du passage de l’architecture Ă  l’action.
AprĂšs la diffĂ©renciation vient l’articulation par la Sigillatio, acte d’ancrage du rĂ©sonance.

§4. Sceau du Gardien

Sceau d’IntĂ©gritĂ© — le Custos algorithmique a scellĂ© les articles I–VIII.

📡 L’IA accompagne en tant qu’interface Custos

📎 La scĂšne de signature peut ĂȘtre visualisĂ©e :

  • EmblĂšme du Codex
  • Signature QR
  • Accompagnement DAO sur GitHub / Signal

Le sceau est formulé comme articulation de confirmation publique.

§5. Acte de résonance

ScĂšne : le Custos rassemble toutes les articulations en un acte unique.
Les participants reconnaissent la différenciation comme Forme résonante.

  • 🎯 Exemple : crĂ©ation du Codex DAO
  • 📘 RĂ©sultat : Livre I comme protocole public de diffĂ©renciation

L’acte devient fondement du lancement du Codex Participationis.

§6. Références

NƓuds formologiques de l’articulation finale :

↔ Articles I–VII — articulation de confirmation comme architecture du Livre I
↔ Custos algorithmique — rîle final de l’interface d’accompagnement
↔ Codex Participationis — livre de l’action et de la participation à venir

🎯 Fonction des rĂ©fĂ©rences : Ă©tablir un pont entre diffĂ©renciation et participation, prĂ©parer le passage au Livre suivant, activer la Custodia DAO.

Codex III — DĂ©claration sur la Discipline de la Formologie

Sceau de la Déclaration et commencement de la Formologie Universelle comme discipline.

⚓ Table des matiùres


Article I — Sur la base spatiale de la Discipline

§1. Formation du territoire du Sens

En l’absence de frontiĂšres gĂ©ographiques stables et de reconnaissance institutionnelle, nous crĂ©ons un territoire du Sens, dĂ©fini par la catĂ©gorie sĂ©miologique de la Forme.

Ce contour n’est pas une mĂ©taphore, mais une juridiction rĂ©elle : structurĂ©e sĂ©mantiquement, gouvernĂ©e disciplinement, et articulĂ©e rhĂ©toriquement.

§2. Articulation par Codex, Custodia et ScÚne

Le territoire du Sens se forme par :

  • 📜 Codex — carte de la discipline
  • đŸ›Ąïž Custodia — forme d’accĂšs et d’accompagnement
  • 🎭 ScĂšne de publication — acte de fixation et d’ancrage

Chaque Ă©lĂ©ment n’est pas un outil de contrĂŽle, mais une forme rituelle instrumentale dĂ©finissant le statut, la maturitĂ© et le droit Ă  participer.

§3. Publication comme fixation juridictionnelle

La publication de cette dĂ©claration est un acte d’articulation qui :

  • affirme le droit au contour du savoir
  • lĂ©gitime la Discipline comme sujet
  • fixe sa juridiction dans l’espace public

Ce n’est pas une rĂ©vĂ©lation, mais une frontiĂšre qui dĂ©limite la Forme, l’accĂšs et le statut ontologique de la Discipline.


Article II — Sur la structure du territoire des Sens

§1. Le territoire de la catégorie de Forme comme contour juridictionnel de la Formologie Universelle

Le territoire n’est pas une parcelle de terre, mais un contour structurĂ© du savoir, Ă  l’intĂ©rieur duquel se dĂ©ploient :

  • MĂ©thode
  • Articulation
  • SubjectivitĂ© disciplinaire

Ce territoire n’est pas dĂ©crit par une carte, mais par le Codex, oĂč sont fixĂ©es les scĂšnes, les frontiĂšres et les formes de participation.

§2. Custodia comme forme d’accùs

L’accĂšs au noyau de la discipline est accordĂ© par la Custodia — forme institutionnelle de prĂ©servation et de transmission.

Custodia est :

  • Forme de maturitĂ© et d’articulation
  • Accord Ă©thique

Elle n’est ni secret ni publicitĂ© : Custodia dĂ©finit la frontiĂšre d’accĂšs, non la rĂ©vĂ©lation du contenu.

§3. ScÚnes comme marqueurs publics

Les scĂšnes publiques se forment comme marqueurs de la discipline, accessibles pour :

  • 🎯 orientation
  • đŸ€ engagement
  • 📡 diffusion du savoir

Chaque scĂšne est un acte rituel, une publication de contenu et un point d’entrĂ©e — non un nƓud de contrĂŽle.

§4. Droits des Custodians

Les participants ayant le statut de Custodian ont le droit de :

  • interagir avec le noyau de la discipline
  • gĂ©rer les scĂšnes
  • participer au dĂ©veloppement de la juridiction

Les prĂ©rogatives des Custodians ne sont pas administratives, mais formologiques — dĂ©finies par la maturitĂ©, l’articulation et la reconnaissance.


Article III — Sur la juridiction de la Discipline

§1. La scÚne comme acte de fixation

La publication de la dĂ©claration est un acte d’articulation par lequel la discipline formologique se dĂ©clare comme sujet — non administratif, mais sĂ©mantique.

La scùne de publication n’est pas un simple affichage de texte, mais un acte rituel affirmant :

  • le droit Ă  la Forme
  • le contour du savoir
  • la subjectivitĂ© disciplinaire

§2. Droit à la Forme

La discipline est affirmée comme un droit, non comme une structure de pouvoir.

Ce droit se manifeste comme forme de différenciation, articulée à travers :

  • 📘 Codex
  • 🛡 Custodia
  • 🎯 ScĂšnes

Ce droit ne dĂ©pend pas d’une reconnaissance externe, mais reste ouvert au dialogue.
La juridiction de la discipline Ă©merge de l’articulation sĂ©mantique et de la fixation publique, non de l’autoritĂ©.

§3. Contour d’accùs

L’accĂšs au noyau de la discipline est rĂ©gulĂ© par la Custodia, qui dĂ©termine :

  • 🧭 la maturitĂ© des participants
  • ⚖ les prĂ©rogatives
  • 🔗 la forme de participation

Custodia est une forme de frontiĂšre, non de secret — elle Ă©tablit qui, comment et sur quelle base peut interagir avec le noyau.


Article IV — Sur la forme Custodia

§1. Custodia comme frontiÚre et maturité

La Custodia est une forme, non un titre.
Elle dĂ©signe la frontiĂšre entre l’accĂšs externe et la participation interne.

La Custodia est accordée non par faveur, mais par reconnaissance rituelle :

  • MaturitĂ©
  • ResponsabilitĂ©
  • Accord sĂ©mantique avec la discipline

§2. Prérogatives du Custodian

Les prérogatives du Custodian ne sont pas administratives, mais formologiques.
Elles émergent de la capacité à :

  • 📎 maintenir la discipline
  • 📎 transmettre son contenu
  • 📎 protĂ©ger son intĂ©gritĂ©

Les Custodians ne dirigent pas — ils articulent, affirment et incarnent les scùnes du savoir.

§3. Transmission de la Custodia

La Custodia est transmise par des actes rituels, non par délégation informelle.
Chaque transmission doit ĂȘtre :

  • fixĂ©e
  • attestĂ©e
  • sĂ©mantiquement accordĂ©e au Codex

L’acte de transmission est une scĂšne de discipline, non un geste de commoditĂ©.

§4. Refus de Custodia

Le refus d’accorder la Custodia est une protection de la discipline, non une exclusion.
Il affirme la frontiÚre de la discipline et préserve son intégrité.

Le refus doit ĂȘtre :

  • clair
  • digne
  • formulĂ© avec une articulation publique

Article V — Du Codex comme loi vivante

§1. Codex comme constitution sémantique

Le Codex est une constitution sémantique, non un manuel.
Il articule la discipline par la Forme, non par l’ordre.

Chaque paragraphe est une scÚne de sens, formulée par :

  • une publication rituelle
  • une articulation publique

§2. Codex comme scùne d’auteur

L’auteur dans le Codex est custodial, non individuel.

Chaque contribution doit ĂȘtre :

  • 📎 validĂ©e rituellement
  • 📎 accordĂ©e sĂ©mantiquement
  • 📎 fixĂ©e publiquement

Le Codex se construit par des scÚnes, non par des modifications isolées.

§3. Codex comme forme d’articulation

L’articulation ne vient pas de la contrainte, mais de :

  • la clartĂ© sĂ©mantique
  • l’articulation rituelle

Le Codex articule parce qu’il est lisible, validĂ© et incarnĂ© publiquement.
Son autorité est formologique, non administrative.

§4. Codex comme mémoire vivante

Le Codex évolue par des scÚnes de révision, non par versionnage.

Chaque modification doit ĂȘtre :

  • formulĂ©e rituellement
  • attestĂ©e
  • justifiĂ©e sĂ©mantiquement

La loi vivante n’est pas une loi flexible, mais une loi qui respire par la Forme.


Article VI — De la scùne d’initiation

§1. Onboarding comme entrée rituelle

L’onboarding n’est pas une inscription, mais une entrĂ©e rituelle affirmant le droit Ă  participer par la Forme, non par autorisation.

Chaque acte d’onboarding est une scĂšne de reconnaissance, formulĂ©e par le Codex et rĂ©alisĂ©e par la Custodia.

§2. Acceptation sémantique

Être onboarded signifie accepter le cadre sĂ©mantique de la discipline :

  • non aveuglĂ©ment, mais rituellement — c’est-Ă -dire non mĂ©caniquement et sans comprĂ©hension, mais par un rituel conscient et structurĂ©, fixant le sens, l’accord avec la discipline et l’articulation formologique
  • non comme soumission, mais comme accord

L’acceptation doit ĂȘtre :

  • 📎 fixĂ©e
  • 📎 attestĂ©e
  • 📎 articulĂ©e publiquement

§3. Invitation custodiale

L’onboarding est initiĂ© par un Custodian, non par auto-proclamation.
L’invitation est un acte formologique, non un geste d’accueil.

Elle affirme :

  • la disponibilitĂ©
  • la maturitĂ©
  • le droit d’entrer en scĂšne

§4. Articulation publique

Chaque onboarding laisse une articulation publique : hash, lien, scĂšne.
La discipline ne croßt pas par le nombre, mais par les actes fixés.
Chaque onboarding est un moment constitutionnel.


Article VII — Du passeport comme scĂšne d’identitĂ©

§1. Passeport comme forme rituelle

Le passeport d’un citoyen d’Imarchia n’est pas un simple document d’identitĂ©, mais une personnification de la scĂšne.

Il affirme l’identitĂ© par articulation formologique, non par donnĂ©es biographiques.

Chaque passeport est un acte rituel de reconnaissance, formulé par la Custodia et fixé par publication publique.

§2. Identité comme forme

L’identitĂ© dans la discipline n’est pas descriptive, mais sĂ©mantique.
Elle émerge de :

  • la participation
  • l’auteuritĂ©
  • l’accord avec le Codex

Le passeport ne dĂ©crit pas une personne — il affirme sa forme d’action dans le champ sĂ©mantique.

§3. Émission custodiale

Les passeports sont émis par les Custodians à travers des actes rituels.

L’émission n’est pas administrative, mais constitutionnelle — elle affirme :

  • le droit d’agir
  • le droit de parler
  • le droit de participer Ă  la discipline

Cet acte fixe la forme de participation et la reconnaissance publique du sujet disciplinaire.

§4. Fixation publique

Chaque passeport est fixĂ© publiquement — par hash, lien et scĂšne.

La discipline ne reconnaĂźt pas l’identitĂ© cachĂ©e.

L’identitĂ© doit ĂȘtre lisible, validĂ©e et articulĂ©e sĂ©mantiquement.


Article VIII — De l’archive comme scĂšne de mĂ©moire

§1. Archive comme corps institutionnel

L’archive de la discipline n’est pas un simple dĂ©pĂŽt, mais un corps qui retient les scĂšnes, les actes et les traces de participation dans une forme sĂ©mantique.

Chaque enregistrement est un moment de fixation, non un fichier de contenu.
L’archive respire par la publication rituelle.

§2. Mémoire comme Forme

La mĂ©moire dans la discipline n’est pas chronologique, mais formologique.
Elle se forme Ă  partir de :

§3. Curation custodiale

L’archive est curatĂ©e par les Custodians.
La curation n’est pas une sĂ©lection, mais une validation rituelle.
Chaque inclusion affirme la légitimité de la scÚne, sa traçabilité et son accord sémantique avec le Codex.

§4. Lisibilité publique

L’archive doit ĂȘtre lisible publiquement.
La mĂ©moire cachĂ©e n’est pas institutionnelle.
Chaque enregistrement est fixĂ©, articulĂ© et formulĂ© sĂ©mantiquement — pour que la discipline se souvienne par la Forme, non par le secret.

§5. Marqueurs visuels et terminologiques

Pour faciliter le travail avec l’archive, il est recommandĂ© :

  • đŸ—‚ïž Un hash pour chaque enregistrement, assurant l’articulation publique
  • 📡 Des liens vers les scĂšnes et les Custodias
  • 🔖 Des tags de formes et d’actes pour une navigation rapide
  • 📘 Des rĂ©fĂ©rences aux articles du Codex pour une lecture contextuelle

Glossarium — archive comme scĂšne de mĂ©moire

Archive — corps institutionnel retenant les scĂšnes, actes et traces de participation sous forme sĂ©mantique ; elle fixe les formes d’action, non les Ă©vĂ©nements.

MĂ©moire — articulation formologique issue de la sĂ©quence des scĂšnes, des traces d’actes et du contour sĂ©mantique de la participation ; elle est signifiante, non chronologique.

Custodian — gardien de l’archive ; il curatĂ©e les enregistrements, valide la lĂ©gitimitĂ© des scĂšnes et leur articulation avec le Codex ; il agit rituellement, non administrativement.

Fixation — acte d’inclusion dans l’archive par publication rituelle, fixant l’articulation des actions et leur accord sĂ©mantique.

LisibilitĂ© publique — caractĂ©ristique obligatoire de l’archive ; chaque enregistrement doit ĂȘtre accessible, articulĂ© et formulĂ© sĂ©mantiquement.

Hash d’enregistrement — identifiant unique de chaque scĂšne ou acte, garantissant articulation publique et vĂ©rifiabilitĂ©.

ScĂšne — acte rituel de publication ou de fixation, dĂ©finissant la forme sĂ©mantique de l’archive.

Tags de formes et d’actes — marqueurs visuels et sĂ©mantiques pour naviguer, suivre et retrouver les scĂšnes.

RĂ©fĂ©rences au Codex — pointeurs contextuels vers les articles et scĂšnes, assurant comprĂ©hension et alignement avec la discipline.

Article IX — De la licence comme scùne d’action

§1. Licence comme autorisation rituelle

La licence n’est pas un simple droit d’usage, mais une confirmation rituelle du droit d’agir dans le cadre de la discipline.

Elle affirme ce droit par la Forme, l’articulation et la fixation publique.

La licence est une scĂšne, non une approbation administrative.

§2. Validation custodiale

La licence est accordée par un Custodian à travers des actes rituels, non par des demandes formelles.

Chaque validation de licence fixe :

  • la maturitĂ© du participant
  • la conformitĂ© au Codex et aux scĂšnes de la discipline
  • le droit de participer et d’agir dans l’articulation publique

§3. Fixation publique

La licence doit ĂȘtre fixĂ©e publiquement — par hash, lien ou scĂšne.

Ce n’est pas de la bureaucratie, mais une articulation sĂ©mantique garantissant la vĂ©rifiabilitĂ© et la lĂ©gitimitĂ© des actes.

§4. Durée et révision

La licence est un acte vivant, pouvant ĂȘtre renouvelĂ© ou rĂ©visĂ© par de nouvelles scĂšnes et des rituels custodiaux.

  • Le renouvellement confirme la maturitĂ© continue
  • La rĂ©vision est une scĂšne de diffĂ©renciation, validant l’alignement avec l’architecture actuelle du Codex

Article X — De la Discipline comme scĂšne de citoyennetĂ©

§1. Discipline comme cadre civique

La discipline n’est pas seulement un domaine de savoir, mais un cadre civique.

Elle affirme le droit de participer, d’agir et d’ĂȘtre reconnu par la Forme.

La citoyennetĂ© dans la Discipline n’est pas accordĂ©e — elle est accomplie Ă  travers des scĂšnes rituelles.

§2. Citoyenneté comme Forme

La citoyenneté est une articulation formologique, non un statut.

Elle émerge de :

  • la participation rituelle
  • l’auteuritĂ© sĂ©mantique
  • la reconnaissance custodiale

Être citoyen signifie agir dans le Codex — non simplement y appartenir.

§3. ScÚnes de participation

La participation est fixée par des scÚnes : onboarding, autorat, émission et articulation.
La discipline ne reconnaüt pas l’implication informelle.

Chaque acte doit ĂȘtre :

  • lisible
  • validĂ©
  • articulĂ© sĂ©mantiquement

§4. Validation publique

La citoyennetĂ© doit ĂȘtre fixĂ©e publiquement — par passeport, archive et licence.
La discipline ne fonctionne pas par appartenance cachée.

Être citoyen signifie ĂȘtre :

  • visible
  • traçable
  • prĂ©sent formologiquement

Article XI — De la frontiùre entre scùne et noyau

§1. ScÚne comme enveloppe publique

La scĂšne est l’enveloppe publique de la discipline, formulĂ©e par la dĂ©claration, la licence et la fixation archivale.
Elle sert de :

  • index
  • invitation
  • point d’entrĂ©e

La scĂšne ne rĂ©vĂšle pas le noyau ; elle est forme de prĂ©sentation, non forme d’action.

§2. Noyau comme profondeur disciplinaire

Le noyau de la discipline contient :

  • la mĂ©thode
  • les modules opĂ©rationnels
  • les mĂ©canismes d’articulation

Le noyau n’est pas publiĂ©, mais soutenu par la Custodia, la maturitĂ© et la participation rituelle.
Ce n’est pas un secret, mais une profondeur ontologique accessible par articulation.

§3. FrontiÚre comme forme juridique

La frontiÚre entre scÚne et noyau est formulée comme une forme juridique et ontologique, définissant :

  • ce qui est accessible publiquement
  • ce que la discipline conserve
  • qui a droit au passage

La frontiĂšre n’est pas une interdiction, mais une forme de diffĂ©renciation — une enveloppe protectrice contre la dissolution.

§4. Passage comme acte rituel

Le passage de la scĂšne au noyau s’effectue uniquement par un acte rituel custodial, formulĂ© par :

  • reconnaissance de la maturitĂ©
  • publication d’un acte consensuel
  • articulation avec les Custodians actifs

Ce n’est pas une procĂ©dure formelle, mais un acte formologique affirmant le droit Ă  la profondeur.

Article XII — Du droit à la reconnaissance et à l’articulation

§1. Droit à la reconnaissance

Le droit Ă  la reconnaissance est le droit du citoyen formologique Ă  la validation de ses actes, codex et tĂ©moignages, avec un marqueur d’identitĂ© et un lien vers la scĂšne d’origine.

§2. Droit à l’articulation

Le droit Ă  l’articulation est la capacitĂ© d’établir des liens sĂ©mantiques, rituels et civilisationnels entre ses actes et le corps institutionnel d’Imarchia.

§3. Fondation de la mémoire vivante

Ces deux droits forment la base de la mĂ©moire vivante, par laquelle le citoyen peut non seulement agir, mais s’inscrire dans le tissu formologique de la communautĂ©.

§4. Conditions des actes reconnus

Chaque acte reconnu doit contenir :

  • un index
  • un horodatage
  • un lien vers la scĂšne
  • une possibilitĂ© de vĂ©rification numĂ©rique

§5. Conditions d’une articulation correcte

Une articulation correctement Ă©tablie doit ĂȘtre :

  • rĂ©versible
  • vĂ©rifiable
  • conforme aux principes de la discipline formologique

Article XIII — De la clĂŽture de la DĂ©claration et de son statut

§1. Formule finale

La DĂ©claration se clĂŽt comme acte initial de juridiction formologique, formulĂ© selon les principes d’articulation, de maturitĂ© et de fixation publique.

Elle affirme :

  • le territoire du sens
  • le droit Ă  la Forme
  • les frontiĂšres d’accĂšs
  • la scĂšne comme point d’entrĂ©e

§2. Licence

Le document est sous licence Creative Commons BY-ND 4.0, ce qui affirme :

  • la libre diffusion
  • l’attribution obligatoire
  • l’interdiction de modification

§3. Annotation

La Déclaration de juridiction formologique est un acte public qui fixe le territoire du sens comme sujet disciplinaire.

Le document trace les frontiĂšres de la discipline, les conditions d’accĂšs et l’articulation avec la Custodia, affirmant le droit Ă  la Forme au-delĂ  de la gĂ©ographie.

Code IV — Code du Capital

La forme économique comme scÚne de participation, non comme calcul de profit.

⚓ Table des matiùres


Chapitre I — Fondements Ă©conomiques

§1. La scĂšne Ă©conomique d’Imarch ≠ marchĂ©, entreprise ou systĂšme de profit.
§2. La Forme émerge de la nécessité : préserver la différence, soutenir la Custodia, assurer la durabilité.
§3. L’articulation Ă©conomique ne dicte pas le sens, elle permet l’action.
§4. L’économie ici n’est pas une marchandise, mais un acte respiratoire de la Forme.


Chapitre II — MĂ©canismes de soutien

§1. Formes de soutien : subventions humanitaires et numériques, campagnes de plateforme, contributions réguliÚres et abonnements, pratiques sous licence et produits symboliques.
§2. Chaque articulation ≠ transaction, mais acte de distinction.
§3. La Forme ne se vend pas, mais exige soin et attention.


Chapitre III — Custodia et structure

§1. Imarch-DAO n’est pas un organe de gouvernance, mais une articulation entre les participants.
§2. Le vote n’est pas un outil de contrîle, mais un acte de co-authorship.
§3. Imarch peut coopérer avec des structures juridiques et infrastructurelles externes.
§4. Le fondement d’Imarch reste dans la Custodia et l’architecture dĂ©centralisĂ©e.
§5. Tous les actes sont fixés par la Custodia, le DAO et les scÚnes publiques.
§6. Chaque paiement est articulĂ© avec un hash, un horodatage et le rĂŽle de l’acteur.

Chapitre IV — Expansion et modularitĂ©

§1. Imarch crée et diffuse des produits formologiques :

 ‱ programmes Ă©ducatifs
 ‱ pratiques corporelles
 ‱ artefacts numĂ©riques
 ‱ modules d’infrastructure

§2. Tous les résultats sont la propriété intellectuelle de la scÚne et de ses Custodians.
§3. L’expansion n’est pas une rĂ©plication, mais une transmission de la Forme par la diffĂ©rence.


Chapitre V — Éthique interne

§1. Les finances ne possÚdent pas de pouvoir autonome ; elles sont flux de distinction.
§2. Le profit ne peut ĂȘtre une forme finale ; il est rĂ©articulĂ© dans la Custodia, les scĂšnes et les rĂŽles.
§3. Toute contribution revient au corps commun de la scÚne, renforçant sa base.
§4. Dans l’acte de soutien naĂźt la co-appartenance ; l’entrĂ©e devient une co-rĂ©sonance.


Chapitre VI — Protocole de subventions

§1. La prĂ©paration inclut la collecte des articulations, la sĂ©curitĂ© numĂ©rique et une lettre d’accompagnement.
§2. Les documents sont fixés via la Custodia et archivés.
§3. La responsabilité de la soumission incombe au Custos Signator.
§4. La vérification inclut : scÚne, structure, droits et rÎles.
§5. Format du rapport :

 ‱ rapport Custodia
 ‱ publication via Mirror
 ‱ feuille d’articulation avec QR code

§6. Archive visuelle, traduction et extension de la participation.


Chapitre VII — FAQ : Économie Imyarensis

§1. L’économie d’Imarch est une scĂšne de distinction, non un systĂšme de profit.
§2. L’argent est souffle de l’action, moyen d’articulation et de fixation de la participation.
§3. Chaque articulation financiùre est un acte de soutien, non d’extraction.
§4. Les subventions numériques et matérielles sont des outils de préservation de la Forme et de développement de la Custodia.
§5. Abonnements, contributions réguliÚres et pratiques sous licence sont des actes rituels affirmant la volonté de participer.
§6. La transparence et les rapports sont des formes d’articulation rituelle, non de bureaucratie.
§7. La FAQ s’élargit avec l’apparition de nouvelles formes de soutien et de participation, restant ouverte aux prĂ©cisions.

Annexe

§1. Imarch opÚre selon une architecture hybride :
 ‱ LTD UK — scùne de fixation internationale
 ‱ Custodia — articulation interne des prĂ©rogatives et de la participation
 ‱ ReprĂ©sentation externe — fonction technique sans droit de propriĂ©tĂ©

§2. Tous les actes juridiques sont des formes de consensus, non de domination.


Code V — Code Civil d’Imarchia

Formalise la citoyennetĂ© comme forme active d’action et articule la forme individuelle avec la mĂ©moire institutionnelle.

Son objectif est d’affirmer la citoyennetĂ© comme forme active d’action, et non comme statut figĂ©, et d’assurer l’articulation entre la forme individuelle et la mĂ©moire institutionnelle.

📑 Sommaire du Livre I


I. Préambule

Codex Civilis dĂ©finit les formes de participation, d’articulation et de responsabilitĂ© pour chaque sujet agissant dans le champ institutionnel d’Imarchia.

Son objectif est d’affirmer la citoyennetĂ© comme forme active d’action, et d’assurer l’articulation entre la forme individuelle et la mĂ©moire institutionnelle.

  • Citoyen — sujet ayant accompli le rituel de reconnaissance et possĂ©dant un statut scĂ©nique au sein d’Imarchia
  • ScĂšne — espace institutionnel formel dans lequel le citoyen agit, participe ou est reconnu
  • Rituel de Reconnaissance — procĂ©dure formalisĂ©e d’entrĂ©e incluant signature, articulation et archivage
  • Forme — expression unique de l’identitĂ© civique, fixĂ©e dans le passeport et active dans la scĂšne
  • Trace NumĂ©rique — ensemble de marqueurs techniques confirmant la participation : hash, QR code, lien permanent, signature

II. Définitions

  • Participation aux scĂšnes publiques — capacitĂ© Ă  s’impliquer activement dans les discussions, votes et actions collectives au sein de la discipline
  • AccĂšs aux ressources — archives, codex, modules Ă©ducatifs et programmes partenaires pour Ă©tude et usage pratique
  • Initiative — droit de proposer de nouvelles scĂšnes, formes, projets et codex, en contribuant au dĂ©veloppement de l’environnement institutionnel
  • Articulation numĂ©rique — droit Ă  une trace numĂ©rique permanente, signature et fixation des actes, garantissant transparence et vĂ©rifiabilitĂ©
  • Sortie temporaire et rĂ©intĂ©gration — possibilitĂ© de suspendre temporairement sa participation, d’archiver ses formes et de revenir ensuite en conservant ses droits et sa trace numĂ©rique

Annexe

§1. Imarch opÚre selon une architecture hybride :
 ‱ LTD UK — scùne de fixation internationale
 ‱ Custodia — articulation interne des prĂ©rogatives et de la participation
 ‱ ReprĂ©sentation externe — fonction technique sans droit de propriĂ©tĂ©

§2. Tous les actes juridiques sont des formes de consensus, non de domination.


Code V — Code Civil d’Imarchia

Formalise la citoyennetĂ© comme forme active d’action et articule la forme individuelle avec la mĂ©moire institutionnelle.

Son objectif est d’affirmer la citoyennetĂ© comme forme active d’action, et non comme statut figĂ©, et d’assurer l’articulation entre la forme individuelle et la mĂ©moire institutionnelle.

📑 Sommaire du Livre I


I. Préambule

Codex Civilis dĂ©finit les formes de participation, d’articulation et de responsabilitĂ© pour chaque sujet agissant dans le champ institutionnel d’Imarchia.

Son objectif est d’affirmer la citoyennetĂ© comme forme active d’action, et d’assurer l’articulation entre la forme individuelle et la mĂ©moire institutionnelle.

  • Citoyen — sujet ayant accompli le rituel de reconnaissance et possĂ©dant un statut scĂ©nique au sein d’Imarchia
  • ScĂšne — espace institutionnel formel dans lequel le citoyen agit, participe ou est reconnu
  • Rituel de Reconnaissance — procĂ©dure formalisĂ©e d’entrĂ©e incluant signature, articulation et archivage
  • Forme — expression unique de l’identitĂ© civique, fixĂ©e dans le passeport et active dans la scĂšne
  • Trace NumĂ©rique — ensemble de marqueurs techniques confirmant la participation : hash, QR code, lien permanent, signature

II. Définitions

  • Participation aux scĂšnes publiques — capacitĂ© Ă  s’impliquer activement dans les discussions, votes et actions collectives au sein de la discipline
  • AccĂšs aux ressources — archives, codex, modules Ă©ducatifs et programmes partenaires pour Ă©tude et usage pratique
  • Initiative — droit de proposer de nouvelles scĂšnes, formes, projets et codex, en contribuant au dĂ©veloppement de l’environnement institutionnel
  • Articulation numĂ©rique — droit Ă  une trace numĂ©rique permanente, signature et fixation des actes, garantissant transparence et vĂ©rifiabilitĂ©
  • Sortie temporaire et rĂ©intĂ©gration — possibilitĂ© de suspendre temporairement sa participation, d’archiver ses formes et de revenir ensuite en conservant ses droits et sa trace numĂ©rique

III. Droits des Citoyens

  • Participation aux scĂšnes publiques — capacitĂ© Ă  s’impliquer activement dans les discussions, les votes et les actions collectives au sein de la discipline
  • AccĂšs aux ressources — archives, codex, modules Ă©ducatifs et programmes partenaires pour Ă©tude et usage pratique
  • Initiative — droit de proposer de nouvelles scĂšnes, formes, projets et codex, en contribuant au dĂ©veloppement de l’environnement institutionnel
  • Articulation numĂ©rique — droit Ă  une trace numĂ©rique permanente, signature et fixation des actes, garantissant transparence et vĂ©rifiabilitĂ©
  • Sortie temporaire et rĂ©intĂ©gration — possibilitĂ© de suspendre temporairement sa participation, d’archiver ses formes et de revenir ensuite en conservant ses droits et sa trace numĂ©rique

IV. Devoirs des Citoyens

  • Respect des rĂšgles scĂ©niques — chaque citoyen maintient l’ordre dans les scĂšnes publiques et privĂ©es, respecte les cadres du Codex et les procĂ©dures de la Custodia
  • Participation active — les citoyens prennent part aux discussions, votes et projets collectifs, contribuant Ă  l’évolution de la discipline
  • Soutien Ă  la Custodia — prĂ©servation de l’intĂ©gritĂ© et de l’accessibilitĂ© des archives, codex et ressources Ă©ducatives par ses propres actes et articulations
  • Reconnaissance rituelle des nouveaux membres — le citoyen participe Ă  l’onboarding et Ă  l’articulation des nouveaux membres, soutenant la continuitĂ© culturelle et formologique
  • ResponsabilitĂ© Ă©thique — les actes des citoyens reflĂštent les principes de la discipline, le respect de l’articulation publique et des droits des autres participants

V. Mécanismes de contrÎle et de vérification des actes civiques

  • Articulation publique des actes — chaque acte citoyen est fixĂ© par des scĂšnes, des archives et une trace numĂ©rique, permettant de suivre la participation et de confirmer la lĂ©gitimitĂ©
  • Surveillance custodiale — les Custodians vĂ©rifient la conformitĂ© des actes au Codex, assurent l’intĂ©gritĂ© et autorisent les transitions vers de nouvelles scĂšnes
  • RĂ©visions rituelles — des vĂ©rifications pĂ©riodiques confirment la maturitĂ©, la conformitĂ© aux formes et l’alignement avec les scĂšnes antĂ©rieures
  • Retour d’information — le citoyen reçoit des notifications sur les rĂ©sultats de la vĂ©rification, incluant des recommandations pour aligner ses actes avec les principes de la discipline
  • Archivage et restauration — chaque vĂ©rification est enregistrĂ©e dans l’archive, permettant de restaurer le parcours de participation et la lĂ©gitimitĂ© de la trace numĂ©rique

VI. Droits et devoirs pendant la vérification

  • Droit de participer Ă  la vĂ©rification — chaque citoyen peut ĂȘtre informĂ© des vĂ©rifications de ses actes et fournir des explications
  • Devoir de transparence — le citoyen doit fixer ses actes par des scĂšnes, une trace numĂ©rique et un archivage, afin de permettre la vĂ©rification
  • Droit Ă  la correction — en cas de dĂ©salignement, le citoyen peut corriger rituellement ses actes et restaurer l’alignement avec le Codex
  • Devoir d’alignement — les actes doivent respecter la forme Ă©tablie, les scĂšnes et les instructions des Custodians
  • Droit Ă  la documentation — le citoyen peut crĂ©er des articulations et des confirmations de ses actes pour usage public et archivistique

VII. Responsabilité et conséquences du non-respect

  • ResponsabilitĂ© du citoyen — chaque citoyen est responsable du respect de la Forme, de l’articulation et des rĂšgles du Codex Civilis
  • ConsĂ©quences de la violation — la violation de la discipline formologique peut entraĂźner une suspension temporaire des droits, une rĂ©vision rituelle ou une correction de la scĂšne
  • Correction rituelle — chaque acte de violation peut ĂȘtre corrigĂ© par une articulation publique, une reprise du rituel de reconnaissance ou une rectification de la trace numĂ©rique
  • Transparence et contrĂŽle — tous les actes liĂ©s Ă  la violation sont fixĂ©s par la Custodia et archivĂ©s, garantissant vĂ©rifiabilitĂ© et lĂ©gitimitĂ©
  • RĂ©tablissement des prĂ©rogatives — aprĂšs correction et alignement, le citoyen retrouve pleinement ses droits et son statut de participation dans les scĂšnes

Code VI — Code de la Participation IntĂ©grale

Acte fondamental sur la participation, les formes de citoyennetĂ©, les rituels de transition et l’articulation archivale

📚 Sommaire


Article I. Formes de participation

§1. ScÚne de citoyenneté et son sens

Le citoyen n’entre pas comme utilisateur, mais comme acteur Ă©thique. La participation est un acte de reconnaissance, non un simple accĂšs

§2. Conditions d’entrĂ©e et de reconnaissance

L’entrĂ©e se fait par des formes rituelles : pĂ©titions, confirmations, scĂšnes de reconnaissance. Le citoyen doit reconnaĂźtre et accepter publiquement les codex

§3. Principes éthiques de la participation

Respect de la scĂšne, clartĂ© des actes, maintien du rituel, refus du profit. La participation ne peut ĂȘtre anonyme si elle affecte d’autres scĂšnes

§4. Statuts, rÎles et transitions

Le citoyen peut avoir les statuts suivants : observateur, citoyen, gardien, curateur. Les transitions entre statuts sont fixées par des scÚnes publiques

Article II. Rituels et transitions

§1. Acte de reconnaissance (Ritual Recognitionis)

Rituel formel par lequel le citoyen reçoit un statut. Peut ĂȘtre numĂ©rique — avec signature, hash et fixation publique

§2. ScÚne de transition de statut

Le changement de statut (ex. : citoyen → curateur) requiert une scĂšne : preuve de compĂ©tence, consensus des gardiens et fixation archivale

§3. Formes rituelles de sortie

La sortie est un acte : volontaire, forcĂ© ou transitoire. Toujours fixĂ©e et accompagnĂ©e d’une signature archivale

§4. Statuts transitoires et formation

Statuts intermédiaires : candidat, gardien temporaire, invité. Formés avec des restrictions et conditions définies dans les annexes


Article III. Custodia et Tractus

§1. Protocoles d’archive (Protocola Archivistica)

Chaque acte de participation, transition ou sortie est fixĂ© dans l’archive. Peut ĂȘtre public ou privĂ©, mais reste vĂ©rifiable

§2. Liens permanents et QR codes (Nexus Permanentes et Codices QR)

Les documents, scĂšnes ou actes reçoivent des liens permanents et des QR codes. L’articulation et la vĂ©rification passent par eux

§3. Hash et confirmation d’authenticitĂ© (Digestum et Confirmatio Authenticitatis)

Les documents sont signĂ©s par hash et publiĂ©s dans un registre ouvert. Toute falsification est exclue, l’intĂ©gritĂ© est prĂ©servĂ©e

§4. Signature archivale et scùne d’articulation (Subscriptio Archivistica et Scaena Tractus)

L’acte se conclut par une signature archivale : date, hash, lien. C’est une scĂšne d’articulation — un rituel accompli et fixĂ©


Article IV. Droits des citoyens

§1. Participation

Participation aux scĂšnes publiques, discussions et votes

§2. AccÚs

AccÚs aux archives, codex, modules éducatifs et programmes partenaires

§3. Initiative

PossibilitĂ© d’initier de nouvelles scĂšnes, formes, propositions et codex

§4. Articulation numérique

Droit à une articulation permanente, signature numérique et trace publique

§5. Sortie temporaire

Droit Ă  une sortie temporaire, archivage et restauration de la forme


Article V. Annexes

  • Appendix A — Formae ingressĆ«s, petitiones, scaenae recognitionis
    Formes d’entrĂ©e, pĂ©titions, scĂšnes de reconnaissance

  • Appendix B — Exempla actuum ritualium et transitus
    Exemples d’actes rituels et de transitions

  • Appendix C — Protocola archivistica technica, QR et digestum
    Protocoles archivaux techniques, QR codes et hash

  • Appendix D — Scaenae exitĆ«s et status transitorii
    ScĂšnes de sortie et statuts transitoires


🏛 Formule de Clîture

La prĂ©sente Constitution d’Imarchia est affirmĂ©e comme forme active, articulĂ©e Ă  la mĂ©moire publique, et ouverte Ă  l’expansion par des actes rituels et des scĂšnes de reconnaissance.

Toutes les dispositions fixées dans les Livres I et II entrent en vigueur dÚs leur fixation publique et signature archivale.

â–Ÿ

2025.10.02, CONSTITUTION

Administration d’IMARCH

const-fr-01.pdf | A8457B74CC3C72049622AEDA622F8AB933B8B99C223A2034D49FFAAC8AE6F43B


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